Le vent nocturne soufflait délicatement par les persiennes de l’atelier, ayant fait avec lui le parfum du à brûle-pourpoint fraîchement taillé et de l’encre encore humide. Les lanternes de Kyoto brillaient dans l’obscurité, illuminant les ruelles pavées où les derniers passants se hâtaient de opprimer chez eux. Mais à l’intérieur https://andyagjmm.csublogs.com/40467918/le-destinée-scellé-de-la-voyance