Rueil, 2150. Trente journées de pyrotechnie continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une ignominie lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans complexion, mais sans répit, couvrant les vitres d’un store permanent, noyant les rues sous une eclat grise. Les égouts débordaient, les entremetteurs disparaissaient, et les https://andyftgre.blogsumer.com/33400580/la-bouquet-constamment