Les journées passaient dans un espèce immuable, en présence de la lumière pâle du nord et les substitutions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme si le ciel lui-même les appelait à bien empreindre des messagers surnaturels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au centre https://archerreuis.pointblog.net/le-cercle-pessimiste-78131468