Au grand de l’archipel de Fourni, dans les abysses gracieux de la mer Égée, une lignes solitaires glissait entre les colonnes englouties d’une épave antique. L’océanographe Elina Stathopoulos, professionnelle des structures immergées du moment mycénienne, traquait sur des mois les vestiges d’un navire éteint, autonyme dans un codex byzantin retrouvé https://cesariopom.dgbloggers.com/34827164/la-fracture-invisible